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Bruno ETCHENIC

Bruno ETCHENIC

Informaticien de profession, créateur du blog portail-aviation en 2012. Ancien rédacteur des actualités du magasine Air Fan

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19 Comments

  1. Anonyme

    Un oubli : le permis de conduire et les coûts afférents

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  2. Patrick AD.net

    Bon papier !
    A envoyer aux rédactions de la presse généraliste pour leur donner matière à réfléchir à la complexité de ce genre de contrats.

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  3. Joël-Pol STEFF

    Joël-Pol STEFF

    en plus du permis de conduire et les coûts afférents, comme dit Yves, je rajouterais les coûts de sélection des chauffeurs qui doivent avoir certaines aptitudes …

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  4. GA_U

    Et la traduction en sanskrit !

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  5. Anonyme

    Superbe papier.
    merci beaucoup.

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  6. Michel47

    Génial, un grand bravo au rédacteur de génie qui a su, avec des mots simple, expliquer un achat très complexe. Il devrait être embauché sur le petit écran ou l'on y entend les pires "co……ries" bétises.

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  7. Jean-Marc

    Superbe article, comme d'habitude 🙂

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  8. sepecat

    Bonsoir,
    Il est bien dommage que 99,9 % des "journalistes", presse écrite et journaux télévisés confondus, ne prennent pas la peine d'effectuer le travail de "vulgarisation" que l'on est en droit d'attendre d'eux…
    Vulgarisation n'a rien de péjoratif et signifie bien au contraire être à même de réduire la difficulté technique d'un sujet pour faciliter sa compréhension, ou du moins la perception de ses concepts fondamentaux, par le plus grand nombre (la "plèbe" quoi… l'ensemble des "manants" dont l'élite journalistique estime trop souvent n'avoir que faire).
    Je dois dire qu'à la lecture de ce post, l'idée a germé de le diffuser auprès des collègues pas forcément versés dans la chose aéronautique mais nourris aux sempiternels : "Le Rafale est un gouffre financier…" voire "Cet avion nous coûte les yeux de la tête et ne sert à rien".
    Autant je peux comprendre que pour le commun des mortels, les chiffres "bruts" livrés par les journalistes de tous bords puissent forcément apparaître énormes, autant je considère que, justement, le travail d'explication n'a, à de rares occasions près comme celle-ci, jamais été fait par les journalistes "généralistes" qui, pour autant, se targuent de pratiquer un métier qui devrait être déclaré d'utilité publique…
    Heureuseent qu'il reste les fameux 0,01 % qui prennent le temps d'analyser et d'approfondir le sujet.
    Même si, par définition, un blog aéronautique aura à coeur de creuser le domaine sur lequel il publie, cela n'excuse pas, à mes yeux, les approximations et raccourcis lus à droite et à gauche dans différents articles.
    Le dernier en date parlait, je cite, du Rafale comme du "Jean-Claude Dusse" des bronzés, n'arrivant jamais à conclure…
    On appréciera la pertinence du propos.
    Pour en revenir à ce premier contrat export, et même s'il n'est pas encore définitivement signé, je noterai au passage que, pour une fois, les "ricains" ont semble-t-il été pris de cours et n'ont pas eu le temps ou le loisir de torpiller ladite vente.
    A méditer…
    Continuez donc à nous servir des articles de la même veine que celui-ci et le nombre de visiteurs ne peut que croître.

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    1. Bruno ETCHENIC

      Bruno ETCHENIC

      Je vous remercie chaleureusement pour votre commentaire qui nous encourage à continuer. Pour ma part la vulgarisation a toujours été mon dada. Expliquer comment ça vole et a quoi ça sert aux personnes qui n'y comprennent rien, par manque de curiosité ou d'indifference aussi… Dans un pays où l'aéronautique est reine (second pays exportateur au monde) il est dingue que ses citoyens soient maintenus dans une telle ignorance. Et quand on écoute les journalistes en parler… Ben quoi de plus normal ! Des aveugles conduits par des aveugles !

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    2. Michel47

      Texte partagé sur ma page FB 😉

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    3. Michel47

      Michel Guignard – Agen ;o)

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  9. sepecat

    Un petit complément d'information sur les essais en vol du Rafale :

    http://rafalefan.e-monsite.com/medias/files/essais-en-vol.pdf

    Auteurs :

    Patrick CASTAGNOS / Responsable des essais en vol RAFALE Dassault Aviation
    Marc TOURTOULON / Responsable équipe intégrée des essais en vol RAFALE

    Paper presented at the AGARD FVP Symposium on “Advances in Flight Testing”,
    held in Lisbon, Portugal, 23 – 26 September 1996, and published in CP-593

    Autant dire que l'info contenue dans ce document peut raisonnablement être considérée comme fiable…

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  10. Anonyme

    J'aime beaucoup votre article surtout l'option: Sapin qui pue 4 saisons à 3 € : 9 600 € ma préféré, je l'avoue (j'en rit encore)

    Lukycold

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  11. Anonyme

    Magnifique travail de vulgarisation.
    A diffuser !

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  12. Marc

    Vraiment excellent, merci !

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  13. Paul

    Bonjour,

    Article intéressant.

    J’aimerai savoir si le vendeur de l’avion, est tenu d’une obligation de maintenance, envers l’acquéreur? Sur quel fondement juridique?

    Merci

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  14. Bruno

    Tout est affaire de contrats. Dans le militaire comme dans le civil, le plus juteux n’est pas la vente d’un avion mais la fourniture de services lié à l’emploi de cet avion sur une période pouvant s’étendre à des décennies.

    Le taux de disponibilité faisant parti des points forts (ou faible) d’un avion, le vendeur n’a aucun intérêt à laisser filer de mauvais chiffres. Mais n’est obligatoire que ce qui est contractuel.
    Dans l’armée de l’air par exemple, quasiment tout est fait par les équipes de maintenance. Ils ont les outils, les bancs d’essai, les formations, les logiciels, les licences, la documentation, etc. Mais chaque équipement est supporté par son fabriquant. Les moteurs, l’électronique, la cellule, et chacun doit pouvoir fournir les pièces détachées en fonction de ce qui a été défini contractuellement.

    Le cas indien est particulier. L’Indian Air Force délègue à plusieurs niveau la maintenance directe des Rafale qu’elle a achetée. C’est le taux de disponibilité qui est assuré par le mainteneur (Dassault pour le coup, mais ça aurait pu être une autre entreprise), à charge de l’entreprise de mettre les moyens en face.

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